«Pour comprendre le contrôle moteur biologique, il faut pouvoir enregistrer l’activité neuronale des animaux en mouvement», explique le professeur Pavan Ramdya de la Faculté des sciences de la vie de l’EPFL. «On dénombre un milliard de neurones dans la moelle épinière humaine, ce qui est gigantesque, et on ne peut pas manipuler les neurones des êtres humains de la même manière…
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