De retour à Valence, Sorolla abandonne les peintures historiques et religieuses, installe son chevalet face à la mer et commence à reproduire la vie qui l’entoure dans son intense luminosité, se concentrant à partir de 1885 sur la description des formes au contact de la lumière et des altérations qu’elle induit. Il ne deviendra pas pour autant un peintre impressionniste. Car si…
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