Un vendredi noir. Le 14 janvier dernier, l’électricien public français EDF s’effondrait de 25% à l’ouverture des marchés boursiers. A la clôture des marchés, le titre s’affichait en baisse de 15%. Une sanction qui ne manque en réalité pas de justifications. L’augmentation décidée la veille par le gouvernement du volume d’électricité nucléaire vendue…
Lire l’article original — Accédez au site