Depuis les «MacronLeaks», les formations politiques se préoccupent des tentatives d’ingérence et piratage. Mais limiter les risques n’est pas simple.
L’idée avait germé en France en 2016 face à la séquence particulièrement chahutée de la campagne présidentielle américaine, marquée par de spectaculaires opérations de hack and leak –…
Lire l’article original — Accédez au site