« C’est une musique extrêmement riche, généreuse, très évocatrice. Die Vogel est un vrai chef-d’œuvre injustement tombé dans l’oubli ». Quand il évoque l’opéra de Walter Braunfels, adaptation de la comédie d’Aristophane, Alain Perroux, garçon plutôt mesuré dans ses jugements, ne ménage pas son enthousiasme. « C’est une écriture très…
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