Les chercheurs de l’EPFL ont établi, pour la première fois, un lien entre la dystrophie musculaire et un groupe de lipides bioactifs, les sphingolipides, qui interviennent dans un grand nombre de fonctions cellulaires ainsi que dans d’autres maladies connues.
Dans son étude, le laboratoire de Johan Auwerx de la Faculté des sciences de la vie de l’EPFL a établi la première connexion…
Lire l’article original — Accédez au site