Je m’appelle Bagdad : un joyeux plaidoyer pour la solidarité féminine [critique]

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Un récit initiatique bourré de fantaisie, dans le Brésil sexiste et homophobe de Bolsonaro.

Le titre ne ment pas. L’héroïne du deuxième film de la brésilienne Caru Alves de Souza (le premier, De menor, est inédit en France) a bien pour prénom Bagdad. Elle a 17 ans et partage son temps entre sa famille de sang (sa mère et ses sœurs) ou de cœur (les amis de sa mère, figures…

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