
Dans le montage financier qui devait permettre aux Girondins de convaincre la DNCG, Gérard Lopez avait communiqué sur un apport personnel de 10 M€ via sa société Jogo Bonito. Le problème aux yeux du gendarme financier du foot français existerait à ce sujet : cette somme aurait été versée sur un compte séquestre qui donnerait la liberté au président hispano-luxembourgeois de la…
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