Plutôt que d’admettre l’inefficacité de la vidéosurveillance dans la lutte contre la délinquance, les industriels développent des logiciels d’analyse d’images pour détecter des comportements «suspects». Malgré leur légalité contestée, ces technologies françaises, israéliennes ou chinoises séduisent des municipalités par dizaines.
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