En cherchant à se défendre, en parlant certes d’« erreur » mais aussi de « second degré » et d’humour mal compris dans un texte de trois pages s’en prenant à Christophe Galtier – coupable à ses yeux d’avoir condamné fermement, comme le club, le chant de mercredi -, le kop niçois n’a guère essayé de faire profil bas. Il devra aussi digérer l’interdiction commerciale de stade,…
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