Les Égyptiens déjà en étaient fous, notamment pour la sensation de fraîcheur que l’anis laissait sur le palais. Utilisé plus tard comme remède contre la peste, le choléra, puis pour apaiser la toux par Hippocrate, c’est Jules César qui l’anoblira en recommandant l’aromatisation à l’anis des vins et pâtisseries. À l’image des conquêtes de l’empereur, c’est dans le bassin…