Dès la Renaissance, les peintres immortalisent ainsi d’une façon ambiguë les derniers instants de la souveraine, oscillant entre extase et effroi. Les yeux révulsés, les lèvres entrouvertes, Cléopâtre apparaît tiraillée entre agonie et orgasme, comme sur cette toile de Claude Vignon (1640-1650, musée des Beaux-Arts de Rennes). Excepté une brève parenthèse dans la seconde…
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