Quand j’ai vu le test de grossesse positif, j’ai tout de suite dit à mon mari : « Désolée, en fait, je ne peux pas. » C’était au-dessus de mes forces. Je m’étais lancée dans ce projet d’enfant de façon très rationnelle, quasi-militaire, mais, désormais au pied du mur, la panique m’a gagnée. Trois jours après, le courage et la raison prenaient à nouveau le dessus :…
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