Du temps. Depuis près de deux décennies, pères et mères en réclament à cor et à cri, bousculant avec peine un schéma patriarcal indéboulonnable voulant que la venue au monde d’un enfant incombe d’abord aux mères. Un peu plus de trois mois après l’entrée en vigueur du congé paternité allongé – passé début juillet à vingt-huit jours (en comptant les trois jours de…
Lire l’article original — Accédez au site