Longtemps, les chercheurs ont pensé que le métabolisme influençait l’espérance de vie et qu’en avoir un trop rapide nuisait à notre longévité.
En biologie, il a été observé que les animaux avec des taux métaboliques élevés avaient tendance à mourir plus tôt que ceux avec un métabolisme lent, car ils s’épuisent plus vite. Mais cette hypothèse paraît moins sûre…
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