Après le Banksy parti en fumée par des traders en 2021 et la récente condamnation au bûcher de près de 5000 œuvres de Damien Hirst par l’artiste lui-même, faut-il brûler des œuvres d’art physiques pour vendre leurs versions numériques ? C’est le pari qu’a fait l’homme d’affaires mexicain Martin Mobarak, créateur de la crypto-monnaie AGCoin, en mettant le feu à Fantasmones…
Lire l’article original — Accédez au site