Les prévisionnistes ne semblent pas connaître le pari de Pascal que l’on peut détourner ainsi. Si je prévois une fin de l’épidémie, je peux me tromper mais au moins, j’aurai vécu un moment de sérénité et j’aurai gagné sur ce point. Si je prévois une cinquième vague, je vis dans l’inquiétude et je perds sur ce point, quoi qu’il advienne. Autrement…