
« Si dans 10 ans on existe encore, ça voudra dire qu’on aura perdu », disait Coluche en 1985.
38 ans après, les Restos du cœur non seulement sont toujours là, mais fleurissent un peu partout comme, paradoxalement, la misère qui leur permet d’exister et de se développer. Chaque année, des millions de repas sont distribués par des bénévoles dévoués à des…
Lire l’article original — Accédez au site