Cher Professeur,
Je m’adresse à vous en tant que simple citoyen et patient éventuel, une démarche selon moi légitime dans ce contexte d’hystérie collective, où le « profane » n’a eu que trop rarement son mot à dire, écrasé systématiquement par des arguments d’autorité lancinants et bien souvent discutables. Si je salue votre positionnement…
Lire l’article original — Accédez au site