
Les résultats de la thèse de l’ingénieure civile Margarita Agriantoni résonnent comme un cri d’alerte lancé aussi bien aux propriétaires de bâtiments qu’aux locataires. Tous vont devoir changer leurs habitudes – dans la façon de construire ou dans la manière de penser son habitat – si l’on veut obtenir une réduction significative de l’impact énergétique des logements…
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