
Je ne l’avais pas entendu entrer. J’étais perdue dans mes… pensées, disons. Figé sur le seuil de notre chambre, Laurent me fixait. Je me suis arrêtée net et, je l’avoue, j’ai eu du mal à réprimer un fou rire devant le tableau que nous formions : moi, à moitié nue, sur le lit, mon canard magique à la main ; Laurent, rouge comme un collégien, bouche bée, incapable…
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