Comme le rappelle Arnaud Schaumasse, directeur du Draasm, « un pillard, ce n’est pas un esthète, pas un amoureux de l’art. Ce ne sont pas de jolies histoires de plongeurs qui remontent des objets. Ce sont des personnes qui s’emparent d’une partie de notre patrimoine collectif ». C’est cette mémoire, sur terre comme sur mer, que les autorités s’efforcent de préserver.
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