« Si quelque badaud s’étonnait de les voir en bisbille, ils se cachaient pour rire de lui, et on les entendait babiller et chanter ensemble comme deux merles dans une branche. »
C’est ainsi que Georges Sand évoque le babil des deux « bessons », dans son célèbre roman, La petite Fadette : les deux garçons font semblant de se disputer, par jeu, pour se moquer des réactions…
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