Mort de Jean-Luc Godard : de Vermeer à Matisse, un cinéma traversé par la peinture


Jean-Luc Godard et l’art, sujet sans fin et source d’innombrables analyses. Il est vrai que l’homme aime les citations. Son cinéma en est truffé et cela dès ses débuts avec À bout de souffle (1960) ou encore Pierrot le fou (1965) ou Ferdinand – Jean-Paul Belmondo – se peint le visage en bleu, telle une évocation lointaine d’Yves Klein. Chez Godard la citation est multiple,…


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