
Partis dans le peloton de tête des groupes anglais sixties, les Kinks avaient pourtant réussi – à coup de concerts foutraques, de luttes intestines et d’un manque total d’opportunisme – à gâcher leurs chances de devenir aussi riches et célèbres que leurs collègues Beatles ou Stones. Une bénédiction pour ceux qui, aujourd’hui, découvrent, médusés, une œuvre aussi…
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