La récente prise de conscience collective de l’importance des métiers qui consistent en la capacité à sauver des vies ou à prendre soin d’autrui sera-t-elle enfin reconnue ? Pourra-t-elle émerger dans le discours, l’action politique et l’espace public qui semblent ignorer le souci de l’autre inhérent à une éthique du « care », du prendre soin ?
Il semblerait que…
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