Depuis un mois, la fédération française d’athlétisme navigue à vue. Sans directeur technique national ni directeur de la haute-performance, aucune décision sur le plan sportif n’est prise. Pas de stage, pas de budget alloué, les athlètes tricolores doivent se débrouiller. Si les stars comme Mayer ou Lavillenie ont les moyens de s’autogérer, c’est beaucoup plus compliqué pour…
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