
Lorsque Eugenio Arias (1909-2008) s’exile à Vallauris (Alpes-Maritimes) pour fuir le franquisme après la défaite de la République espagnole, il ne se doute pas que sa vie et celle de son petit village au nord de Madrid, Buitrago del Lozoya (un peu moins de 2 000 habitants), sont sur le point de changer. Un illustre voisin, exilé communiste comme lui, fréquente…
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