
Face aux dérives dictatoriales de Kaïs Saïed, les Tunisiens n’auraient-ils d’autres choix entre la peste islamiste et le choléra arabiste, pour sortir de l’ornière où ces deux idéologies les avaient mis ? C’est du moins, ce que pensent certains intellectuels Tunisiens à la mémoire courte et qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.
« Le véritable progrès…
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