Fébrilement attendue depuis deux ans, la création mondiale de l’épopée orientale composée par Atiq Rahimi et Thierry Escaich ne se révèle pas à la hauteur des espérances suscitées. Principaux regrets : une partition étouffante et des personnages trop lointains.
En Perse, la formule magique qui ouvre le conte n’est pas « il était une fois », mais « boud, naboud »…
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