Dès le début des années 1930, Vittorio Cini s’est mis à assouvir, avec méthode et goût, sa passion de l’art. Aspirant à l’excellence, il s’attache un conseiller exceptionnel, Nino Barbantini, ferrarais comme lui, critique d’art lié à la création de la Galerie d’art moderne de Venise. Fin connaisseur du marché de l’art, celui-ci est encore un grand spécialiste de la…
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