Nerveux, hystérique, défensif, déplacé, grinçant, forcé… Ce ne sont pas les adjectifs qui manquent pour qualifier un rire. Dans le cas de celui du Joker, c’est le rire dément; un rire fou et douloureux, que chacun des interprètes du personnage à l’écran s’est efforcé de faire sien.
Lire l’article original — Accédez au site