
Mais qu’importe ! L’Italie l’attend où il acquiert, dans son Grand Tour qui va durer huit ans, une nouvelle culture, son propre style et un nouveau patronyme : Fuseli. À Rome, sa sensibilité s’imprègne de Michel-Ange et il emporte comme un trésor personnel la vision des titans de la chapelle Sixtine. Il recueillera aussi la leçon du maniérisme et s’en inspirera pour la…
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