
« L’État français parqua ces familles, les retrancha dans des camps d’internement à Drancy, à Beaune-la-Rolande ou ici à Pithiviers avant de les déporter dans des camps d’extermination où, dans leur immense majorité, ils furent aussitôt assassinés dans les chambres à gaz. Une gare comme celle-ci, où nous nous retrouvons aujourd’hui entre une mairie et un clocher,…
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