Pierre Rosenberg nous accueille, décontracté, chemise rose et chaussons vénitiens en velours comme ceux que portent les gondoliers. On s’installe dans son bureau où trône une seule photo, celle de son épouse Béatrice. Sa table de travail est jonchée de catalogues de ventes et d’expositions que dépouillent pour lui de jeunes collaborateurs. Avec ses quarante-cinq mille documents…