À la seule évocation de Bidouille, le golden retriever de ses voisins de palier, Myriam blêmit. Qu’elle entende un matin l’animal aboyer de l’autre côté du couloir et cette cadre dynamique peut rester cloîtrée dans son studio pendant des heures, de peur de se retrouver nez à nez avec lui en ouvrant sa porte. Et si, par le plus grand des malheurs, elle vient un jour à le croiser…