« Alors, tu as honte de ta vieille mère ? » À la lecture de « La Promesse de l’aube », j’avais la vingtaine passée, un rideau s’est déchiré pour faire surgir la lumière. La fin d’un sale sentiment : celui d’avoir eu honte de ma mère. Je n’étais plus seule. En un passage mythique, il me semblait que Romain Gary décrivait ce que je n’avais jamais réussi jusque-là à exprimer ni à…
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