Le cinéaste new-yorkais revient à Cannes avec un récit initiatique à forte teneur autobiographique.
James Gray est de retour à la maison. Doublement. Au festival de Cannes, d’abord, où il n’avait plus présenté de long-métrage depuis The Immigrant, en 2013, et où ses films ont quasi-systématiquement été mal accueillis – avant, presque aussi systématiquement, d’être…
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