Dix ans après Sinister, Scott Derrickson revient chez Jason Blum et signe son meilleur film.
On comprend tout de suite, dès les cinq premières minutes, que Black Phone ne sera pas un film d’horreur comme les autres. Qu’on n’aura pas affaire ici à de la frousse industrielle, produite à la chaîne, mais à quelque chose d’investi, de senti, de personnel. Quelle délicieuse…
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