
Carl Gakran en est persuadé: la survie de l’araucaria dans le sud du Brésil est intimement liée à celle de son peuple, les indigènes xokleng, mobilisés pour replanter par milliers ces conifères menacés d’extinction.
« Les Xokleng n’existent pas sans l’araucaria. (…) Notre peuple et notre culture sont menacés », explique à l’AFP ce jeune homme de 32 ans qui vit sur la terre…
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